Sarah Barukh a passé 10 ans avec la peur au ventre et les menaces quotidiennes. Refugiée chez ses parents, elle a réalisé que beaucoup de femmes n’avaient pas eu sa chance. Elle est vivante, quand tant d’autres sont mortes.
À travers son histoire mais aussi celles de toutes ces disparues, elle explore les causes de ce que l’ONU a récemment qualifié de "Pandémie de l’ombre" et propose des solutions concrètes.
En France, en moyenne, une femme est tuée par son compagnon ou ex-compagnon tous les deux jours et demi. Soit 125 féminicides par an, officiellement... Elles sont tuées par arme blanche, par arme à feu, étouffées, battues ou torturées à mort, brûlées vives, noyées, défenestrées. Les chiffres sont plus effarants encore quand il s'agit du nombre de femmes subissant des violences conjugales.
Loin des stéréotypes, « Vivante(s) » incite à agir à travers des idées simples, à impacter la société pour faire bouger les lignes... Et rester vivantes.