Zineb El Rhazoui : «Cet argent, disons-le, c’est le prix du sang. Aujourd’hui, cet argent devrait être un bien commun. Un bien qui aille d’abord aux familles des victimes, qui aille également aux blessés pour couvrir ce que la sécurité sociale ne couvre pas pour les blessés, les familles de toutes les victimes et pas seulement celles qui travaillent à Charlie. Je parle également de Frédéric Boisseau, l’homme de ménage, je parle d’Ahmed Merabet, le policier qui a été assassiné, de Frank Brinsolaro qui était le garde du corps de Charb. Tous ces gens-là ont-ils reçu l’argent envoyé par les Français ? »...
« Et il y a une colère qui gronde du côté des familles des victimes et du côté de nos collègues blessés »
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